Qui refuserait l’offre alléchante d’avoir moins de stress, plus d’énergie et donc, d’être plus optimiste et plus productif. Car, au final, tout cela rime avec bonheur. Dans la vie, c’est une évidence que le bonheur ça se mérite. Et comme la pilule miracle n’a pas encore été inventée, entretenir joie de vivre et bonne santé exigent des efforts constants.
Se maintenir en forme demande certes des efforts, mais la bonne nouvelle c’est que ces mêmes efforts visant une vie saine procurent des résultats qui transcendent la bonne forme physique. Quand on se sent bien, on a davantage de temps pour l’introspection, pour améliorer ses relations aux autres, pour atteindre une meilleure productivité et un accomplissement supérieur. De toute évidence, la santé est le fondement du bonheur.
Daniel Kahneman est un psychologue reconnu pour ses travaux en psychologie du bon jugement, de la prise de décision et de l’économie comportementale. Dans son livre « Thinking Fast And Slow », Kahneman relève cette vérité que « L’atteinte du bonheur est une réalisation multifactorielle pour laquelle entrent en ligne de compte la santé, les relations familiales et amicales, mais par-dessus tout, le sentiment d’être en plein contrôle de son emploi du temps. »
Nous visons tous le bien-être et le bonheur, mais nous sommes inondés d’information sur la façon d’y arriver. Tout ceci sans compter que les diktats circulant sur le sujet s’entrechoquent quand ils ne s’opposent carrément pas! Toutefois, nous savons que le maintien de notre bien-être physique et mental est en fait la recherche d’un équilibre, ou de faire les meilleurs choix face à une multitude d’options.
En matière d’énergie, il peut nous arriver de ne plus en avoir, d’être vidé. Un manque ou une carence en fer peuvent en être la cause. En grande partie, ce sont les femmes qui en sont accablées. Selon une étude de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) intitulée « The Global Presence of Anemia 2011 », 1.62 millions de personnes à travers le monde souffrent d’une carence en fer, dont une majorité de femmes!
L’OMS a découvert qu’environ 3% des canadiennes, sous une forme ou sous une autre, sont anémiques, et que 10% des femmes de moins de 50 ans souffrent d’une carence en fer. Trop souvent, ces femmes qui se sentent « vides de toute énergie » mettent la faute sur le banal épuisement, alors qu’elles pourraient, en étant plus proactives, récupérer tout leur entrain et leur productivité. Si vous soupçonnez une déficience en fer, parlez-en à votre médecin afin qu’une analyse soit faite.
Un style de vie équilibré combiné à la prise d’un bon supplément de fer peut grandement contribuer à la reconquête de votre énergie, de votre joie de vivre et de votre productivité, laquelle sera ensuite mise à profit dans votre travail, avec votre famille, dans vos passe-temps, votre entraînement physique, etc. Ne serait-ce pas un bon « deal »!